samedi 1 février 2020

Marguerite Duras, Le Vice-Concul : le roman de l'ennui...



    Chères lectrices, chers lecteurs, cet article sera bref car la lecture de ce roman rime avec soulagement (de l'avoir fini).    


    Ça marche, ça dort, ça a faim, ça danse, mais pas trop, le piano est désaccordé, mais pas tant que cela, ça biberonne, il pleut, et vraiment.


    Puis, il y a les lépreux : la nuit, mais aussi le jour ! Pauvres gens ! Où est-il le plus opportun d'attraper la lèpre : à Calcutta ou ailleurs? Vaste débat qui mérite une dizaine de pages, n'est-ce pas ? Vous préfériez où, vous ? Quitte à être si mal en point ?

    Et enfin, il y a l'ennui. Voici la seule phrase pertinente du bouquin car il est clair que l'on s'ennuie et que l'on n'y comprend rien.
    

    Chère auteure, j'en suis navrée, mais votre roman ne m'a pas transcendée.

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